« Mars 2012 – mars 2022. Allongée sur mon lit devant le présent texte, je souligne une décennie de douleurs chroniques, ces douleurs qu’on dit « rebelles » parce que la médecine n’arrive pas à les enrayer. Ces douleurs qui durent, qui résistent et devant lesquelles le corps médical se tait, secoue la tête, détourne le regard, quitte la salle. »
Découvrez cet article intitulé « Douleurs rebelles » de Martine Delvaux écrivaine et professeure de littérature à l’Université du Québec à Montréal.